nuit blanche
Revenue ce soir, je n'avais aucune envie d'aller me coucher. Bien au contraire, envie de te voir apparaitre, chose faite sur GP :)
Tant de chose en moi, cette foutue envie de te voir, de savoir où je vais. Mes nuits sont agitées tout autant que les tiennes et je suis totalement déstabilisé.
Que dire, pour le moment, rien...
Mardi, je vais à paris chez mon luthier à coté de la gare de Lyon. je ne sais pas encore si j'y vais en voiture ou en train. Mais je sais que ce sera trop difficile pour toi de justifier ça... et je n'y tiens pas, même si je brule d'envie de te voir...
De t'avoir parlé hier m'a libéré c'est vrais, mais en même temps, je me sens partir dans un tourbillon qui veut trop ce précipiter. Je ne veux surtout pas tomber dans le mélo dramatique... et d'ailleurs, je ne sais pas trop si je vais vraiment publier ce que je viens d'écrire car je ne veux pas t'influencer sur quoi que ce soit...
je lis et relis ce que je viens d'écrire. Il est presque 4h du matin... je me lève à 7h30 pour aller jouer toute la journée arf... mais plus je me lis et plus je trouve que j'ai écris n'importe quoi... mais bon, ce qui est écrit est écrit, donc je vais le publier... et puis Merde, j'ai le droit de le dire... tu me manques, ça fait trop bizarre...